Les Icares constituent sans doute la plus grande menace présente dans la région de New York. Il semble être issu des Aigles Royaux bien que sa taille soit plus grande que celle de ses ancêtres. Le corps de ce dernier est recouvert d'une substance luisante qui leur permet de se protéger de la chaleur, mais qui semble aussi lui servir de protection contre les projectiles. En effet, il est très difficile de tuer un Icare. Vu le manque de nourriture sur le territoire, l'Icare est devenu carnivores et n'hésite pas à se nourrir de chair humaine quand elle tombe sous son bec. Il est reconnaissable à son cri strident et dès que vous l'entendez, il n'y a pas à hésiter et il faut courir pour se mettre à l'abri le plus vite possible. Grâce à ses pattes et ses serres puissantes, il est possible pour lui de porter jusqu'à quatre fois son propre poids, il peut donc facilement emporter un homme adulte sans forcer.

Les hurleurs représentent sans doute l'espèce la plus importante de New York. Ces petits rongeurs peuplent essentiellement les égouts et station de métro de la ville mais essaye quand même de ne pas trop se faire voir par les humains. Le hurleur doit son nom au cri puissant qu'il pousse pour se protéger, l'oreille humaine ne pouvant que difficilement supporter la fréquence utilisée. Un cri de Hurleur peut s'entendre à des kilomètres, bien que cela ne soit pas plus que dérangeant sous le sol, en surface, ce même cri peut attirer des Icares en quête de proies. Aussi, il est conseillé de ne pas les déranger lorsqu'on sort des zones protégées. Certains hurleurs sont élevé en captivité et, au vue de leur abondance, représente la principale source de viande pour les New-Yorkais.

Les chiens n'ont que très peu évolué durant les cinquante dernières années, à cause de leur proximité avec les hommes dans des zones sécurisées. Cependant, la population canine a énormément baissé, la majeure partie d'entre eux, comme les humains ayant péri lors de l'éruption solaire. Plusieurs spécimens ont pu être retrouvé et sauvé peu de temps après, mais il reste une soixantaine d'individus à New York et il est de plus en plus difficile de les faire se reproduire. Les experts donnent encore 40 à 50 ans avant de voir l'espèce s'éteindre à l'instar des chats qui semblent avoir disparu.

Vivant principalement sous la surface, les Lutembis sont la pire menace que l'on peut croiser sous terre. Plus grands que des crocodiles normaux, ces créatures vivent dans la vase des égouts reliant les différents quartiers. Bien qu'ils restent le plus souvent dans les égouts peut utiliser, ils leur arrivent de quitter leur nid pour trouver de la nourriture. Malgré leur poids, pouvant avoisiner la tonne, les Lutembis n'en reste pas moins rapide, tant sur terre que dans l'eau, mais ils n'attaqueront pas à vue. Ils attendent patiemment que la proie arrive à portée de mâchoire, développant une puissance de 5000 livres-force, pour le croquer et, uniquement si la proie s'échappe, il partira à sa poursuite. Si vous repérez donc un Lutembi d'assez loin, vous devriez pouvoir l'éviter sans trop de problèmes. Contrairement aux Icares, les Lutembis ne sont pas sensible au cri des hurleurs bien qu'il s'agisse de leur source de nourriture principale. Les Lutembis ont une grande progéniture, mais heureusement, à cause des conditions de vie difficile, beaucoup de bébés meurent également avant d'avoir atteint l'âge adulte.

Les premiers Culters ont été observés il y a une douzaine d'années. Les scientifiques pensent qu'ils ont migré depuis le centre des Etats-Unis jusqu'à la côte Est, ce qui explique leur soudaine apparition. Descendant des pumas, le Culter semble avoir pris d'un plus lointain ancêtre, le tigre à dent de sabre si on en juge par ses puissantes canines d'une vingtaine de centimètre. Terriblement puissante, elles peuvent venir à bout d'un Icare si celui-ci tombe dans les griffes de l'un d'entre eux. Les Culters se déplace souvent seul, ou à deux en période de reproduction et des rivalités semble exister entre les différentes races, il n'est pas rare qu'un Culter en attaque un autre si la nourriture vient à manquer. L'animal est également très dangereux pour l'homme, bien qu'il n'arrive que rarement d'en croiser un. Se déplaçant à une vitesse pouvant atteindre les 40 km/h, l'animal est également très silencieux et peut surprendre sa proie sans qu'elle ne l'aperçoive. Tomber nez-à-nez avec une de ses créatures implique bien souvent la mort, mais fort heureusement, l'animal est également assez peu résistant aux armes à feu et Epysomes.

Ces animaux canins, proche des chiens qui vivent sous New York, serait en vérité des Coyotes. Particulièrement maigre et haut sur patte, on a parfois du mal à s'imaginer ces créatures comme dangereuses. Les Wayas laissent les humains tranquilles la plupart du temps, mais attaqueront sans sommation s'ils se sentent. Les Wayas vivent en meute, pouvant contenir une dizaine d'individus et attaquent toujours à plusieurs leurs proies, ce qui en fait des êtres redoutables. Les petits restent dans la meute jusqu'à atteindre la majorité avant de quitter cette dernière pour en rejoindre une autre, afin de mélanger les espèces et, comme le pense les scientifiques, devenir plus fort à chaque nouvelle génération. A l'instar de leurs ancêtres ou des loups, la meute est dirigée par un mâle alpha qui mène la chasse et est toujours le premier à manger les proies rapportées. Charognards, bien que préférant la viande, ils mangent tout ce qui leur tombe sous le museau. Dans quelques rares occasions, on peut observer un Waya solitaire, abandonné par sa meute à cause d'une blessure ou d'une maladie ralentissant les autres.